Et pour l'article.... c'est   I C I  ....

https://www.youtube.com/watch?v=n05ZwvIXg9M




Je rappelle qu'il y a déjà eu un accident qui aurait pu mal tourner voir  I C I  ....
l'histoire ne dit pas si la péniche était amarrée ou , .. en navigation ( voire à un "mouillage" ) a un endroit où elle n' aurait dû pas se trouver ...

Et pour ceux qui s'imaginerait que les canadairs n' écopent qu'à proximité de la mer ... cliquez ICI  ....

pour rappel ( ou info ) Il faut de 9 à 12 secondes d'écopage pour remplir les deux réservoirs de 3 000 litres chacun...

En même temps, ici, sur l'étang de Thau, ils fo t un premier passage bas ( comme dans top gun) avant de rêvenir ecoper. Alors celui qui fait croire qu'il ne savait pas...

Un été nous avons été réveillé vers 8h par un bruit infernal au-dessus de la maison de location au lac de Pareloup. C'était un canadair qui faisait une approche plongeante à raz des dernières maisons au bord du lac. Pour son premier passage il a simulé (repérage et avertissement je suppose), il a fait une boucle et est revenu pour cette fois écoper et à peine a-t-il repris de l'altitude qu'il a tout larguer. Et on ne l'a plus revu.
De très près, ces bébés sont assez impressionnant.

On les a aussi déjà vu dans le Var mais ils étaient loin.

Le plan d'eau doit avoir une profondeur minimale de 1,40 mètre...

le survol en remplissage s'effectue sur une longueur d'environ 450 mètres

à une vitesse sur l'eau variable - selon les sources - aux environs de 60 noeuds quand d'autres citent entre 75 et 85 nœuds...

Les écopes sont de petites ouvertures de 10 × 12 cm placées sous le fuselage.
Il faut de 9 à 12 secondes d'écopage pour remplir les deux réservoirs de 3 000 litres chacun.

Quand on pense que l'avions s'alourdit de SIX tonnes    en une dizaine de secondes  ( avec les modifications d' équilibre que ça doit engendrer ..  ) ,
on peut aisément comprendre que cette opération d'écopage est assez délicate et nécessite une formation spéciale des pilotes ....

et que ce n 'est VRAIMENT pas le moment de gêner ces "artistes du pilotage" ...

Et une fois cette délicate phase effectuée, les pilote doivent "faire au mieux" entre
- les obstacles naturels ( constructions, reliefs )
- les dangers potentiels ( lignes électriques ... )
- l'instabilité de l' air avec les masses instables d'air chaudes ascendantes sans doute assez violentes ... 

Chapeau les gars !     

Je confirme que ces bébés sont impressionnants de près

C'était le 30/05 devant Carnon et ils revenaient d'une intervention ou d'un entraînement à l'ouest.
Ils étaient passés dans l'autre sens quelques heures

Oh que OUI  .... il y a bien plus de sujets où je suis une "tanche"   que ceux que je maîtrise 

Dans le domaine nautique, ... tu peux toujours chercher des " contributions " de ma part sur , l' électronique, la peche, ... tu n'es pas prêt d'en trouver

J'ai de MAIGRES compétences dans les domaines AUTO et AVION ...

Dans le domaine de la KULTURE, pour te dire mon niveau ... je suis tellement nul que je ne connais même pas le prénom de Napoléon   

Et dans la vie actuelle, .. au  niveau informatique .... y'a une sacrée marge de progression  !   




Je ne suis pas tout à fait d' accord avec çà ... 

Dans la pratique de la voile on doit optimiser plein de notions d' équilibres divers...
Et je pense que dans le domaine aéronautique, il doit en être de même ...  ( les spécialistes infirmeront ou confirmeront  ... )

Je me souviens notamment d'un Pilote ( ou d'un mécanicien ) du Concorde qui expliquait que pendant le vol supersonique au dessus de l' Atlantique ...
il passait pas mal de temps à transvaser le kérozène d'un réservoir à l'autre pour optimiser l' équilibre de ... l' "oiseau" ...

Là, pour en revenir au Canadair ... 

A vide, on le donne pour quasiment 13 tonnes ,  bref on peut supposer qu'en rajouter SIX en 10 secondes ...
doit nécessiter une belle dextérité  de la part de l' équipage pour "compenser" cela en stabilisant le vol ... 

Pendant la phase d' écopage, sachant cela, je pense qu'ils sont quand même "sur le fil du rasoir" ...  ,  et que ce n'est pas le moment de se louper 


Imaginons qu'a bord de votre coque planante ( sur une eau plate ) le bateau soit bien trimé pour un "hydroplanage" parfait ...    et ...
que l'on vous rajoute en DIX secondes un chargement égal à la moitié du poids ...

Vous ne me ferez pas croire qu'il n' y aura AUCUN réglage à effectuer si on veut maintenir une vitesse constante ....

Je n' ai JAMAIS volé à bord d'un Canadair  , mais on peut supposer que du fait qu'au cours de l' écopage on charge l'avion de six tonnes ...
si on ne touche à rien, l'avion s'alourdissant, il risque de s'enfoncer UN PEU ou BEAUCOUP dans l' eau ...
ce qui aura pour effet d'augmenter la surface de la carène de l' hydravion au contact de l' eau ...

ET que se passe-t-il avec un carène déjaugée au maxi lorsque l'on augmente sa surface au contact de l' eau ? ...    LA VITESSE CHUTE  .... 

ET AUSSI BIEN pour un avion que pour une coque planante  ... si la vitesse chute ... la portance de la carène va diminuer  ...

EN PLUS , dans le cas d'un hydravion, avec une baisse de vitesse, il va y avoir AUSSI une perte de portance ... des ailes ...
( qui là encore aura pour effet d'enfoncer encore plus la carène centrale de l' hydravion .. )

OR , il faut que notre hydravion assure une certaine continuité/stabilité de vol pendant l'écopage ... et ... APRES pour lui permettre de reprendre de l' altitude   
donc j'imagine bien la synchronisation qui doit se faire pour maintenir le vol malgré la différence de chargement ... 

Sacré challenge  ! 

J'imagine que OUI , Thierry ....

cela dit se prendre une bonne ascendance ( + ou - brutale ) me semble quand même "moins sur le fil" que la phase d' écopage ...  

Et un rappel des règles avec les CANADAIRS .... cliquer   I C I  ...

Sans doute, mais ça génère de belles "ascendances" des colonnes d'air chaud, non  ? 


oui, ... ça vaut mieux !   surtout que la durée du largage est encore plus rapide que l' écopage  ....

Prise sur le site de la sécurité civile :



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